Ariste : Un homme-enfant rêve de battre le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur sur ce thème ici
("Jupiter rend fous ceux qu'il veut perdre" disaient déjà les sages romains. En s'en prenant planétairement à une vie cosmique qui la dépasse de loin, l'humanité prépare inconsciemment son suicide) : le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur sur ce thème ici
Un homme prédateur de la vie qui brandit son athéisme comme un flambeau pour éclairer sa voie se présente jusqu'ici comme le leader dans la course cosmique : un pari de pure foi ! Sa science lui annonce en effet plutôt le contraire, notamment en matière de furtivité : des voyageurs interstellaires beaucoup plus avancés se rendraient déjà vraiment invisibles, ce qui réduit à néant son hypothèse de leur absence trop tôt décrétée. Mais l'homme ne se contente pas d'émettre l'hypothèse de sa prééminence : son pari provocant de prédateur est en effet sans pudeur démontré par son comportement envers tout ce qui vit dans son écosystème, envers la faune sauvage, la flore et envers ses propres semblables les plus démunis. Aucun observateur extraterrestre ne peut donc négliger la menace potentielle qu'une évolution de ce type représente déjà pour toute vie.
Ce pari fou de l'homme n'exclut en effet pas que l'existence de Dieu, mais aussi celle de toute transcendance cosmique portée par des civilisations plus avancées et plus sages, même en avance de quelques centaines d'années seulement. Se croyant invulnérable et immortel, un homme qui s'en prend de plus en plus furtivement aux plus faibles de son écosystème exclut toute pareille stratégie de voyageurs cosmiques infiniment plus forts envers lui-même.
Un prédateur infréquentable doit rester enfermé, et des civilisations de voyageurs interstellaires se donneraient les moyens de le garder dans sa prison terrestre. Elles ne s'interdiraient certainement pas un contrôle discret de notre écosystème et de notre évolution. L'homme lui-même n'accepterait jamais qu'une meute de primates puisse se préparer à venir perturber son existence, et en matière d'évolution, il est à égale distance du nomade et du singe.
Attracteur de Lorenz & chaos
Un homme bienveillant et responsable impose déjà à l'enfant son modèle de transcendance en le bousculant un peu. Le voyageur en apartheid cosmique imposera de même la voie de son labyrinthe de conscience à tous ceux qui se présenteront derrière lui. A l'image de la théorie du chaos, une différence initiale très marginale de comportement se traduira en effet à terme par une cohabitation impossible de l'homme et d'un nomade sortis pourtant pareillement de la bestialité : des élèves de maternelle et de l'université ne pourraient de même progresser en restant sur les mêmes bancs ! Pourquoi alors attendre autre chose qu'une bienveillante discrétion de la part de tout nomade ?
Les sciences de l'homme et du nomade se sont trop éloignées pour des échanges directs dans un espace commun, mais c'est toujours par une sage gestion de son foyer que l'on démontre sa volonté de paix. En apartheid cosmique, un comportement en aval restera toujours visible par un amont dont le seul silence a déjà prouvé la bienveillance. Une démonstration de sagesse est donc la commune mesure et meilleure signature d'un mutuel respect. Mais si le nomade a déjà rempli sa part du contrat, l'homme refuse jusqu'ici de remplir la sienne.
Un homme qui exclut une allégeance de communion mieux éclairée que la sienne fait le choix du désordre et de sa perte. Le silence cosmique est le témoignage d'un respect de la vie terrestre et d'une volonté de paix au moins potentielle que tout voyageur extraterrestre plus avancé aura jusqu'ici démontré. C'est en tous cas le seul pari de progrès que l'homme peut raisonnablement faire et toujours reconduire pour perpétuer la vie.
Ce pari fou de l'homme n'exclut en effet pas que l'existence de Dieu, mais aussi celle de toute transcendance cosmique portée par des civilisations plus avancées et plus sages, même en avance de quelques centaines d'années seulement. Se croyant invulnérable et immortel, un homme qui s'en prend de plus en plus furtivement aux plus faibles de son écosystème exclut toute pareille stratégie de voyageurs cosmiques infiniment plus forts envers lui-même.
Un prédateur infréquentable doit rester enfermé, et des civilisations de voyageurs interstellaires se donneraient les moyens de le garder dans sa prison terrestre. Elles ne s'interdiraient certainement pas un contrôle discret de notre écosystème et de notre évolution. L'homme lui-même n'accepterait jamais qu'une meute de primates puisse se préparer à venir perturber son existence, et en matière d'évolution, il est à égale distance du nomade et du singe.
Attracteur de Lorenz & chaos
Un modèle transcendantal d'éducation cosmique
Un homme bienveillant et responsable impose déjà à l'enfant son modèle de transcendance en le bousculant un peu. Le voyageur en apartheid cosmique imposera de même la voie de son labyrinthe de conscience à tous ceux qui se présenteront derrière lui. A l'image de la théorie du chaos, une différence initiale très marginale de comportement se traduira en effet à terme par une cohabitation impossible de l'homme et d'un nomade sortis pourtant pareillement de la bestialité : des élèves de maternelle et de l'université ne pourraient de même progresser en restant sur les mêmes bancs ! Pourquoi alors attendre autre chose qu'une bienveillante discrétion de la part de tout nomade ?
Son silence cosmique s'imposera peu à peu en bousculant l'homme pour l'éclairer en aval !
Pour une assurance-vie de l'espèce, la sagesse devra s'imposer face à une science terrestre dévoyée :
une science arbuste penchée par un vent prédateur sera redressée à temps pour pousser noblement.
une science arbuste penchée par un vent prédateur sera redressée à temps pour pousser noblement.
Les sciences de l'homme et du nomade se sont trop éloignées pour des échanges directs dans un espace commun, mais c'est toujours par une sage gestion de son foyer que l'on démontre sa volonté de paix. En apartheid cosmique, un comportement en aval restera toujours visible par un amont dont le seul silence a déjà prouvé la bienveillance. Une démonstration de sagesse est donc la commune mesure et meilleure signature d'un mutuel respect. Mais si le nomade a déjà rempli sa part du contrat, l'homme refuse jusqu'ici de remplir la sienne.
Un homme qui exclut une allégeance de communion mieux éclairée que la sienne fait le choix du désordre et de sa perte. Le silence cosmique est le témoignage d'un respect de la vie terrestre et d'une volonté de paix au moins potentielle que tout voyageur extraterrestre plus avancé aura jusqu'ici démontré. C'est en tous cas le seul pari de progrès que l'homme peut raisonnablement faire et toujours reconduire pour perpétuer la vie.
Sur la piste déjà toute tracée d'un silence cosmique inviolable, un faisceau
de présomptions pour un pari toujours gagnant : une allégeance
attendue par une ascendance nomade toujours furtive !
attendue par une ascendance nomade toujours furtive !
Ce pari de foi scientifiquement meilleur que l'actuel s'impose : un pari sur l'existence de civilisations cosmiques retranchées comme l'humanité elle-même dans un apartheid naturel préservé par les plus avancées en conscience réfugiées à dessein en amont dans un monde surnaturel rendu par elles indétectable et inaccessible en aval. Comme dans les classes de nos écoles, seules des espèces également avancées pourront alors cohabiter et progresser en paix dans une communion cosmique de progrès, comme devraient déjà le faire les hommes entre eux sur cette planète : pas de survie possible sans ce respect mutuel universellement démontré à tous les niveaux de conscience !
Il s'agira certes encore d'un pari de foi comme l'actuel, mais puisqu'un engagement pacifique de cette nature est de toute façon requis en aval, autant faire le meilleur choix. C'est un pari de raison qui est attendu de l'espèce. Les atouts d'un tel choix : la science moderne, notamment en matière de furtivité, le silence cosmique et l'apartheid jusqu'ici vécu par l'espèce et manifestement souhaitable pour la faune terrestre. Ce faisceau de présomptions annonce déjà la probabilité d'une éthique de discrétion cosmique imposée en aval par des civilisations plus avancées en amont.
Après avoir planétairement démontré son respect de cette loi d'allégeance en apartheid, un homme renaissant à terme nomade l'imposera à son tour aux civilisations extraterrestres encore enfermées dans son voisinage. Il restera cependant toujours libre de refuser cette renaissance. La vie est un héritage cosmique que nul n'est contraint d'accepter : comme l'individu déjà, l'espèce peut choisir de le refuser par un suicide collectif !
Ce nouveau paradigme d'un choix de vie allant vers la perfection n'exclut
pas l'hypothèse du hasard en réconciliant toutes les formes de foi : l'agnosticisme d'une science des meilleurs paris cosmiques.
Il s'agira certes encore d'un pari de foi comme l'actuel, mais puisqu'un engagement pacifique de cette nature est de toute façon requis en aval, autant faire le meilleur choix. C'est un pari de raison qui est attendu de l'espèce. Les atouts d'un tel choix : la science moderne, notamment en matière de furtivité, le silence cosmique et l'apartheid jusqu'ici vécu par l'espèce et manifestement souhaitable pour la faune terrestre. Ce faisceau de présomptions annonce déjà la probabilité d'une éthique de discrétion cosmique imposée en aval par des civilisations plus avancées en amont.
Après avoir planétairement démontré son respect de cette loi d'allégeance en apartheid, un homme renaissant à terme nomade l'imposera à son tour aux civilisations extraterrestres encore enfermées dans son voisinage. Il restera cependant toujours libre de refuser cette renaissance. La vie est un héritage cosmique que nul n'est contraint d'accepter : comme l'individu déjà, l'espèce peut choisir de le refuser par un suicide collectif !
Ce nouveau paradigme d'un choix de vie allant vers la perfection n'exclut
pas l'hypothèse du hasard en réconciliant toutes les formes de foi : l'agnosticisme d'une science des meilleurs paris cosmiques.
Un engagement actuel de l'homme dans la voie d'un enfer terrestre
La conscience cosmique s'entretient en croissant en complexité vers la perfection. Elle ne sera pas remise en cause par une violence poursuivie dans une guerre interstellaire sans fin. Source de progrès éternel, elle se nourrit de désordres rendus éphémères par une allégeance cosmique légitimement attendue en amont.
Un homme qui a fait le mauvais pari cosmique s'est donc en même temps engagé dans la voie d'un enfer terrestre qui durera tant qu'il n'aura pas changé de paradigme en faisant le seul pari rationnel : celui d'un respect universel de sagesse. La vie de l'humanité est jusqu'ici un désordre à réduire par son allégeance ou par son autodestruction. En choisissant de ne pas s'engager dans la voie de la transcendance, elle a déjà implicitement fait le mauvais choix : les métastases de son cancer cosmique ne seront jamais stoppées, mais multipliées.
Une humanité en fin de vie planétaire n'accédera pas à une vie extraterrestre en violant la loi du silence cosmique. Seule une espèce plus avancée déjà sortie de son écosystème peut l'inviter à une table de communion universelle. Ces aînés se seront longtemps penchés en toute discrétion sur elle (ovnis, etc.) dans l'attente de sa démonstration d'allégeance avant toute ouverture d'accueil. Retranchés dans un silence inviolable, ils ne permettront jamais l'évasion interstellaire d'un homme prédateur de la vie dans son propre écosystème. Il doit acquérir l'intime conviction qu'il n'est pas le plus fort ni le plus sage pour progresser en bienveillance et en conscience.
Une évolution discrètement assistée : un boomerang de vie ou de mort !
Avant la venue du marché, la culture du bien menait l'espèce vers un ordre cosmique parfait, celle du mal vers le désordre le plus absolu. Dans un champ extraterrestre seul d'envergure suffisante pour cette progression éternelle, la conscience ruisselait ainsi d'un mal planétaire hérité de la bête primitive vers un bien extraterrestre toujours perfectible.
En engageant l'humanité dans un pari excluant toute force plus sage et plus grande que la sienne, une oligarchie prédatrice de ses propres semblables a réussi à inverser le sens de ce ruissellement naturel et rendu l'affrontement cosmique inévitable. Elle oublie en effet avec un tel pari que seuls des semblables peuvent entrer en communion directe. Des espèces trop éloignées en évolution ne peuvent cohabiter ni même se contacter en paix, comme c'est déjà le cas entre riches et pauvres sur notre planète. En acceptant le pari actuel de l'homme, toute civilisation de voyageurs infiniment plus avancés se condamnerait à préparer une invasion potentielle de barbares cosmiques !
Comme d'autres murs terrestres (mur d'Hadrien, Grande Muraille...), le silence cosmique est un mur de protection contre des barbares planétaires en voie de renaissance qu'il convient en attendant de garder enfermés.
Ce mur de silence cosmique exclut tout affrontement ou contact direct entre des espèces trop éloignées dans leur évolution. Comme dans les arts martiaux, des aînés extraterrestres plus forts et plus sages utiliseront par exemple la force et la perversité des hommes pour les rendre fous et les épuiser en s'affrontant. Après avoir elle-même épuisé une patience cosmique, une espèce humaine jugée perdue pour la transcendance sera conduite au suicide :
Un choix à court terme sans ambiguïté pour l'homme, s'anoblir ou mourir.
Avec ou sans lui, une Transcendance Cosmique née du hasard renaîtra !
Avec ou sans lui, une Transcendance Cosmique née du hasard renaîtra !
Des voyageurs se préserveraient ainsi en restant dans un apartheid cosmique destiné à rester à jamais surnaturel. Des couches successives de civilisations nomades vivant en apartheid cosmique "s'emboîteraient" alors en poupées russes jusqu'à l'infini, chacune n'étant certaine que de l'existence de sa propre descendance, avec seulement la probabilité d'être elle-même pareillement guidée, sans aucune certitude. L'écart type entre deux poupées voisines irait de quelques centaines à quelques millions d'années, ou davantage. Comme pour l'oiselet chassé du nid, des ascendants bienveillants envers la vie tiendront donc toujours leurs descendants à distance.
Les appels de l'homme aux extraterrestres (NASA/SETI, CNES/Gepan...) sont donc tous voués à l'échec : les espèces moins avancées ne les recevront jamais, et des plus avancées en conscience (des nomades cosmiques bienveillants) ne prendraient pas le risque de nous sortir d'une inconscience à vaincre par nous-mêmes. Le silence cosmique ne traduit que leur respect envers la vie et la conscience potentielle que nous portons.
Le pari déjà perdu de la paille contre la poutre ?
un choix de renaissance ou de suicide !
un choix de renaissance ou de suicide !
L'oligarchie a inconsciemment monopolisé à son service tous les moyens de l'espèce : les outils, le savoir, la production, l'économie, le contrôle de l'ordre établi. Le pari cosmique de la paille contre la poutre semble à priori perdu d'avance. Entraîné par une meute malveillante, l'homme de paix lui-même est naturellement conduit à venir alourdir encore la poutre qui menace de plus en plus d'écraser l'espèce : il s'appliquera même parfois à vouloir enlever jusqu'à la dernière paille d'une bouée de salut qui flottera jusqu'au bout dans l'oeil d'un Déluge Terrestre en formation déjà bien avancée (ex. Paul Jorion).
Après avoir au nom de la foi préparé sa venue en criant au loup bien avant l'heure (Esope/La Fontaine), la meute reconvertie fort opportunément sur le marché à l'athéisme trompe encore mieux son monde en tournant en dérision l'idée même de péché ou de complot de sa part : et elle est jusqu'ici triomphante ! De grands prédateurs inconscients peuvent avancer masqués derrière un cancer capitaliste répandant partout ses métastases !
La prédation n'épargnera cependant pas une oligarchie inconsciente, même si elle venait à être la dernière à disparaître : la conscience cosmique ne naîtra que dans un long ruissellement d'un mal terrestre vers un bien par nature extraterrestre. Le torrent de violence du marché détruira toute intelligence humaine... ou s'assagira dans la bienveillance !
Un homme prédateur de la vie revendique jusqu'ici la place du Diable
dans un enfer terrestre qu'il se prépare à rendre universel par sa violence.
Pourtant, que Dieu existe ou non, il doit regagner à temps la place du plus
faible en aval dans une chaîne de conscience cosmique qui l'attend !
Le silence du cosmos prouve la noblesse du nomade, pas son absence ni la prééminence de l'homme ! L'apartheid terrestre est un premier pas vers une transcendance infinie de la vie dans un Univers Global !
L'espèce humaine ira donc en paix vers la conscience
en s'adossant à une transcendance déjà potentielle !
Le pari gagnant : une table cosmique discrètement dressée
par une ascendance bienveillante et responsable
par une ascendance bienveillante et responsable
La vie cosmique est faite de paris gagnants. La science toute entière n'est qu'un ensemble de paris gagnants que l'être intelligent doit sans cesse découvrir pour accéder à une vie durable et toujours plus noble en conscience.
L'homme ne grandira que s'il parie toute sa vie sur un champ à labourer
dans un cosmos infini qui a déjà été défriché pour sa renaissance !
dans un cosmos infini qui a déjà été défriché pour sa renaissance !
Difficile de croire en ce pari surnaturel d'amour ? Tous les paris de singularité cosmique jusqu'ici faits par l'homme ont été perdus : sa planète n'est pas le centre du monde comme il l'a longtemps cru, ni son soleil, ni sa galaxie... Il en sera de même de son univers local (Big Bang), de la vie, de son niveau d'évolution et de conscience, etc.
L'Univers Global est infini. Une vie plus avancée ne se laissera jamais dépasser par des prédateurs en les gardant discrètement à distance ! Devant les milliards de planètes potentiellement habitables dans notre seule galaxie, un pari de douce transcendance a infiniment plus de chances d'être gagnant qu'un pari toujours perdant de singularité auquel l'espèce humaine s'obstine jusqu'ici à s'en tenir en se croyant la plus intelligente et la plus forte.
La bienveillance d'une Transcendance ne pourra être éternellement sollicitée pour la renaissance d'une espèce mal engagée dans son accouchement cosmique. Attendra-t-elle un vrai Déluge pour
se réveiller alors précipitamment et dans la panique ?
Née du hasard ou non, la vie poursuivra sa route avec ou sans l'humanité, en passant par toutes les formes et tous les degrés de complexité, vers l'infini et une perfection absolue qu'elle n'atteindra par définition jamais.
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